Entre Histoire, plage et plongée... Bienvenue à l'Escala! Situé au nord du parc naturel des îles Medes, l'Escala est un village historique, à forte personnalité. La ville est dotée d'un port de plaisance, et bordée par la baie de Cala Montgó. Les ressources culturelles y sont nombreuses (ruines d'Empuries, village médiéval de Sant Marti) et sa cuisine est des plus réputées. De nombreuses possibilités d'activités sportives s'offrent à vous comme la randonnée pédestre, le vélo, la voile ou le kayak. Les plongées s'effectuent dans le parc naturel et sur la côte du Montgrí. Entre les majestueuses falaises qui la bordent, il est toujours possible de trouver un site isolé pour plonger le long de tombants, dans des grottes, des îlots ou sur des épaves. L'Escala vous accueille dans son petit village de la Costa Brava pour des vacances tout en détente... et en plongées! Vous serez logés dans l' hôtel Nieves Mar, en bord de mer. Plongée Costa Brava - Voyage plongée Espagne - Divingaway. Situé sur la promenade maritime de l'Escala, le cadre est idéal pour ceux en quête d'une ambiance tranquille et bon enfant.
Tout ce dont vous avez besoin pour vivre des moments inoubliables sous l'eau.
Sous les eaux de la Costa Brava se cache un monde plein de vie, avec une flore et une faune des plus riches et variées. Réserves naturelles, recoins rocheux, grandes cavernes lumineuses, collines immergées, prairies de gorgones multicolores, épaves de bateaux naufragés, éclatantes colonies de corail rouge… et bien plus encore! La meilleure façon de le découvrir? Faire de la plongée, sous-marine ou libre. Voici donc les 10 meilleurs sites de plongée, pour mieux connaître ce paradis grâce à la trentaine de centres spécialisés qui peuvent vous accompagner dans cette expérience. Les plus beaux sites de plongée sous-marine de la Costa Brava. En outre, si vous sautez le pas, vous pourrez en profiter pour passer le diplôme de PADI (Association professionnelle des instructeurs de plongée).
A l'époque, « The Americans », qui s'inscrit dans la lignée de la Beat Generation (mouvement littéraire et artistique) et fera de lui une figure de la contre-culture, avait été considéré comme déprimant et subversif, révélant la face sombre de l'American Dream: pauvreté, ségrégation, inégalités et solitude. Il a « fait naître une nouvelle iconographie où des visages anonymes s'amalgament au bord de routes tristes, dans les excroissances urbaines ou les vides d'un territoire démesuré », résume la galerie du Jeu de Paume, qui l'a exposé en 2009. Le regard de Robert Frank influencera à son tour plusieurs générations de photographes, de Diane Arbus à Lee Friedlander et Garry Winogrand. Censuré par les Rolling Stones au cinéma Après ce coup de maître photographique, Robert Frank se consacre jusqu'au début des années 70 au cinéma. Son premier court-métrage, « Pull My Daisy » (1959), adapté d'une pièce inachevée de Jack Kerouac, est typique de la Beat Generation et l'on y croise d'ailleurs les figures du mouvement, Allen Ginsberg, Peter Orlovsky et Gregory Corso.
Une série hommage à la Beat Generation. Dans les années 1980, Robert Adams immortalisait le visage de l'Amérique à son insu, grâce à un sac de provisions dans lequel était dissimulé son appareil photo. Une vingtaine d'années plus tôt, Robert Frank faisait la même chose, mais appareil découvert, en sillonnant les États-Unis. Outre leurs mêmes prénom et nationalité, les deux avaient également la même ambition: peindre une fresque juste de l'Amérique contemporaine. Et aujourd'hui, ces deux séries, Our Lives and Our Children et The Americans, sont de précieux documents de cette époque. Cette année, Robert Frank est mis à l'honneur à travers deux expos, l'une à Arles jusqu'au 30 novembre et l'autre dans le cadre de Paris Photo jusqu'au 11 novembre. Le photographe sort également un beau livre, aux éditions Delpire, et ce n'est pas un hasard si la préface est signée Jack Kerouac – pionnier de la Beat Generation et auteur du roman autobiographique Sur la route, considéré comme le manifeste de ce mouvement littéraire –, car le livre est nourri de cette même ivresse.
Mêlant de nombreuses archives d'interviews et d'extraits de films, le beau documentaire que lui consacre Laura Israel balaIe soixante-dix ans d'une carrière bien remplie. Il s'appuie surtout sur de riches rencontres avec l'artiste. Interrogé chez lui, à New York et dans son repaire canadien de Mabou, en Nouvelle-Écosse, le facétieux nonagénaire puise dans ses albums et ses caisses d'archives pour commenter, avec humour et gourmandise, une œuvre riche et inclassable. (© Arte textes, photos et player vidéo) Page load link
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