Les registres d'état civil numérisés et en ligne se font plus nombreux sur le portail des archives de l'Aube. La ville de Troyes s'étoffe avec la mise en ligne de l'état civil jusqu'en 1910, les années 1911-1916 arriveront dans les jours à venir. La numérisation des registres paroissiaux et d'état civil de la ville de Troyes (1535-1916) fruit d'un partenariat scientifique et financier entre le département, la ville et la communauté d'agglomération a été réalisée à partir de la collection communale pour les registres paroissiaux et les registres d'état civil antérieurs à 1899 et pour le XIXe siècle, c'est la collection du greffe qui a été numérisée. La recherche se fait par période, type d'actes et paroisses. Un programme d'annotation collaborative a été mis en place et permet à chacun de participer à l'enrichissement des ressources en contribuant au référencement des patronymes présents. Deux fonds sont ouverts à l'annotation, les registres paroissiaux et d'état civil (55. 565 annotations réalisées à ce jour) et les listes nominatives des recensements de la population (544.
454 annotations actuellement). Le département de l'Aube met à disposition des internautes de nombreux fonds d'intérêt généalogique. Après l'état civil, les tables décennales et les registres paroissiaux, vous pouvez également consulter les recensements de population qui sont interrogeables par l'index si le patronyme a été relevé (1820-1831), les fiches matricules militaires à partir des tables alphabétiques (elles ne sont pas indexées malheureusement), les tables des successions et absences (1824-1946), les fonds des hypothèque et le fichier Chandon qui recense près de 8. 000 patronymes. Liens Portail des archives de l'Aube Accès à l'état civil de la ville de Troyes A lire aussi Le site des Archives de l'Aube, tout nouveau, tout beau (archive de 2015) Les registres matricules de l'Aube sont en ligne (archive de 2015) Guide de la Revue française de Généalogie: archives en ligne mode d'emploi (payant)
Entretien avec Nicolas Dohrmann, directeur des Archives de l'Aube, dans le cadre du Forum des archivistes en 2016 Vous disposez sur votre site d'une série de cartes interactives de l'Aube. Dans quel cadre sont-elles utilisées? La première carte interactive a été développée dès 2003 pour accompagner l'exposition et le jeu Sceaux et usages de sceaux, pour permettre aux internautes de localiser les sceaux dans l'Aube et en Champagne et servir des supports aux ateliers pédagogiques. Les six autres cartes interactives créées depuis 2009 s'inscrivent dans cette même démarche: accompagner, enrichir et prolonger en ligne les principales expositions de la direction. Votre site, le premier à utiliser Arkothèque en 2002, a fait l'objet d'une refonte considérable l'année passée: quel bilan en tirez-vous? Le bilan est très satisfaisant: le site, dont l'administration est désormais largement assurée en interne, est enfin accessible sur supports mobiles, ce qui n'était pas le cas pour sa précédente version.
Il dispose également d'un moteur de recherche couvrant une grande partie des éléments en ligne, qui permet à l'internaute non familiarisé avec les cadres de classement et les arborescences informatiques de trouver aisément les informations recherchées. La maniabilité de la nouvelle version d'Arkothèque a permis de trouver une voie médiane, en proposant ces nouvelles fonctionnalités au sein d'une ergonomie ayant gardé ses codes visuels. L'Aube se retrouve très bien positionnée dans l'étude du SIAF sur les sites d'Archives départementales. Comment l'analysez-vous? Cette position dans le « classement » des sites est une belle reconnaissance du travail effectué par les équipes des Archives depuis de longues années. Elle découle à mon sens de multiples facteurs: un site assez largement intuitif, et ce dès sa première version en 2002; une facilité d'accès à l'information, qu'il s'agisse des informations pratiques, de l'accès aux instruments de recherche et bien évidemment aux archives numérisées; la qualité et la diversité des archives mises en ligne; et enfin un véritable souci de l'esthétique, qui a parfois manqué dans d'autres sites institutionnels.
Les jeunes hommes sont recensés à l'âge de 20 ans, au lieu de leur domicile. Les tables alphabétiques des registres matricules permettent de connaître le numéro de matricule du soldat, clé d'accès à sa notice individuelle. Les notices individuelles sont consultables en salle de lecture des Archives départementales. Fichier Chandon Ce fichier généalogique, dressé par le Comte Chandon de Briailles, recense près de 8000 patronymes. Les notes biographiques concernant les familles champenoises sont complétées par un riche appareil de renvois vers les sources originales: ouvrages et revues d'histoire locales, fonds d'archives (séries anciennes des Archives départementales, fonds privés, notamment les archives de la Cordelière (8J), une collection de documents d'archives (près de 30 000 pièces) liés à l'histoire de la Champagne et des familles champenoises rassemblés par le Comte Chandon de Briailles et donnée, en 2004, aux Archives départementales). Tables des successions et absences (1824-1945) Jusqu'en 1824, il existe de multiples tables (tables des décès, tables des successions acquittées, tables des inventaires après décès, tables des tutelles et curatelles, etc. ) entre lesquelles sont répartis les renseignements concernant les successions.
Impossible d'affiner Votre recherche dans le guide a atteint le niveau maximal de précision disponible dans cette thématique.
Pokemon Gold Rom Ds, 2024