Mais ce n'est pas très différent des dizaines de conversations que j'ai entendues lors de rassemblements et de groupes de PNL. Cette personne PNL est devenue ce que Richard Bandler a mis en garde contre, c'est-à-dire un Méta Monstre. En raison de sa formation, elle utilise ce qu'elle pense être le modèle Méta – qui, d'une certaine manière, est – mais de manière tout à fait inappropriée. C'est embarrassant à observer. Comment utiliser le modèle Méta Lors de nos formations en PNL, nous explorons le modèle Méta à petites doses, pour lui permettre d'être complètement absorbé et intégré, et sur un certain nombre de jours. Et, oui, vous pouvez développer des compétences avec elle grâce à l'auto-apprentissage: Traitez-le comme un outil d'écoute. Ou même un stéthoscope pour entendre ce qui se passe à l'intérieur. Quand quelqu'un fait un commentaire, agissez comme si ce qu'il dit à haute voix était la pointe d'un iceberg – et ce qui se trouve sous l'eau est une énorme quantité de pensées, de croyances, de sentiments, d'évaluations, etc. Déterminez si la situation et votre relation avec la personne conviennent à l'utilisation du modèle Méta – et obtenez leur permission de l'utiliser Établissez que vous avez un rapport – la fin de l'autre personne perçoit de la valeur pour elle-même en explorant le problème Écoutez quelle catégorie elle utilise le plus.
La sélection se produit lorsque nous négligeons, excluons ou oublions quelque chose. La sélection est une fonction importante de notre cerveau et de notre système nerveux. Elle nous évite d'être submergés par la masse des informations qui stimulent nos sens en permanence. Comment utiliser le méta modèle dans notre vie quotidienne? Des exemples concrets Mais ces filtres de la perception nous jouent parfois des tours, quand nous oublions de considérer l'autre facette de la réalité: par exemple, quand je dis « je suis en colère », qu'ai-je communiqué? En colère à propos de quoi? De qui? Ou encore « Je me sens trahi »: trahi par qui? Qu'est-ce que la trahison pour moi? Le rôle de l'outil du métamodèle est donc, en thérapie comme dans une conversation courante, de nous aider à faire préciser à l'interlocuteur ce que nous voulons vraiment dire. Un exemple: quelqu'un vous dit « je ne sais pas ce que j'ai, je ne me sens pas bien »… avant d'éclater en sanglots en disant » et puis de toute façon, personne ne m'aime »!!!
Dans ces phrases, on peut résumer la structure de la phrase comme: X entraîne Y ou autrement dit X cause Y. Certaines phrases démarrent d'abord par y üe suis fou de rage). Dans ce cas, Y est causé par On a deux types de questions à notre disposition: soit on met en cause le lien cause-effet, soit on cherche un contre-exemple. Tu manges du chocolat car tu as faim ==> En quoi la faim et le fait de manger du chocolat sont-ils reliés? Le but de ces questions est de permettre à la personne de prendre conscience qu'elle est responsable de ses réactions: être en colère, se rendre malade. Et oui, chacun de nous est le propriétaire de ses émotions, ses pensées et ses comportements. b) Equivalence complexe Dans ce processus, deux expériences sont supposées avoir une analogie dans leur signification. Si l'une est vraie, l'autre l'est aussi. X prouve Y ou X est l'équivalent de Y, ou X égal Y, ou X montre Y. II ne parle pas, il est insatisfait. Le Métamodèle propose 2 options pour mettre en lumière l'aspect arbitraire du lien X pour Y, soit la question « En quoi X prouve Y?
– La distorsion consiste à substituer des informations aux informations de votre expérience. C'est en partie avec elle que vous mobilisez votre créativité et votre capacité à inventer et innover. La boussole de KOURILSKY et l'art du questionnement (questions clarificatrices)
On établit un lien « logique » entre deux faits. Les équivalences complexes (A=B): « Il est en retard, il ne m'aime pas ». On considère deux expériences distinctes comme signifiant la même chose. Les lectures de pensées: « Vous allez penser que je suis stupide, mais … » ou encore « Je sais bien ce qu'il pense de moi ». On interprète la pensée de son ou ses interlocuteurs? Les présuppositions: « Pourrais-tu apprendre cela? », présuppose que vous pourriez en être incapable ou encore « Essaye de réaliser ça », présuppose que vous pourriez ne pas y arriver. So what? Même si c'est parfois délicat, il peut être pertinent de poser à votre interlocuteur certaines questions qui vont lui permettre de se rendre compte qu'il déforme la réalité. Pour les liens de cause à effet (A-> B): « Quel est le lien entre ces deux faits? » ou « est-ce que A peut exister sans B? » Les équivalences complexes (A=B): proposer un contre-exemple: « est-ce qu'il peut t'aimer tout en arrivant en retard? » Les lectures de pensées: « Sur quoi repose ton jugement?
Vivez les questions maintenant! Peut-être serez vous alors progressivement capable, sans même vous en apercevoir, de vous approcher doucement des réponses. Rainer Maria Rilke « Celui qui pose une question risque pendant cinq minutes d'avoir l'air bête. Celui qui ne pose pas de questions restera bête toute sa vie. » Une maxime bien connue, et pourtant poser des questions n'est pas toujours évident: quelle type de question dois-je poser? Quand et comment? Poser des questions est un art pour lequel Frédéric Falisse – coach, conférencier et concepteur de la Questiologie – se consacre depuis pléthore d'années. « Poser des questions est un acte quotidien, » nous explique Frédéric Falisse lors d'une conférence TED intitulée « La Questiologie ou l'art de poser les bonnes questions «, avant de rajouter: « et pourtant, nous posons » quasi « systématiquement les mêmes types de questions, qui ne représentent que 15% des possibilités. » Et de renchérir: « Poser des questions différentes ouvre des opportunités pour vos proches (…) Poser des questions différentes permet d'avoir une carte du monde plus large et des possibilités nouvelles.
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