Elles peuvent créer des maux de tête, et faire de votre baignade un moment très désagréable. Je ne vous conseille donc pas de vous baigner s'il y a des traces de ces algues. Renseignez-vous bien avant d'y mettre un pied. Chez Coco, le restaurant de la porte d'enfer en Guadeloupe Lorsque vous visitez la Porte d'Enfer en Guadeloupe, ne manquez pas de vous arrêter au restaurant Chez Coco pour manger un morceau. Ce restaurant est situé sur la plage et offre une vue imprenable sur la mer des Caraïbes. Vous pourrez y déguster une variété de plats créoles, notamment des spécialités de fruits de mer comme les beignets de conque et le curry de crabe. La nourriture est fraîche et savoureuse, et surtout, elle est abordable. Chez Coco est également un endroit idéal pour se détendre et profiter de la beauté naturelle de la Guadeloupe. Vous pouvez vous asseoir sur la plage et écouter les vagues s'écraser sur le rivage, ou vous promener dans la jungle toute proche. Et n'oubliez pas de prendre une boisson rafraîchissante au bar pendant que vous profitez du soleil.
En quittant la Grande Vigie et en prenant la route qui longe la côte orientale, en direction du Moule, nous retrouvons le littoral avec un lagon particulier, le Lagon de la Porte d'Enfer. Il faut stationner sur une esplanade en terre, à droite de la route, hélas en plein soleil. C'est une langue de mer qui s'enfonce dans le littoral, endroit calme et peu profond avec une eau très tiède. Un plaisir de baignade pour petits et grands avec même, en allant au milieu, quelques beaux poissons à voir. La rive sud comporte des carbets et bancs avec des endroits ombragés. Un chemin permet de monter pour une randonnée vers le « Trou de Madame Coco », grande crevasse béante, et, plus loin, le « Trou du Souffleur ». La rive Nord du lagon est moins accueillante, moins ombragée et plus rocheuse mais elle permet de s'installer en bordure des buissons. Il est possible de marcher jusqu'à l'entrée du lagon où les vagues viennent frapper les rochers. Les photos sont suffisamment éloquentes… Ce n'est pas l'enfer, plutôt un paradis!
Il estime que les mesures prises sont insuffisantes. Chaque matin, il contemple les dégâts d'un site submergé par des odeurs nauséabondes. Les touristes sont tout de même au rendez-vous Roméo a la trentaine, il est propriétaire du restaurant situé à l'entrée du site depuis 10 ans, une affaire qu'il a repris à ses parents. Et son constat est très amer. Le barrage mis en place par les sapeurs pompiers du SDIS, le 16 janvier dernier n'a pas tenu. Pourtant, les touristes sont au rendez vous Mais les conséquences sur la végétation mais aussi sur les individus sont inquiétantes... Roméo a fait la demande à la Préfecture, d'un appareil de mesure des gaz. Et malgré un ramassage régulier mis en œuvre par les autorités, le site reste très impacté, a l'issue de la rupture du barrage. Et pour Roméo avec en pleine période touristique qu'une dizaine de couverts par jour difficile pour le restaurateur d'envisager l'avenir. A (re) voir le reportage de Marie-Lyne Plaisir et Jean-Marie Mavounzy: ©guadeloupe Un sommet international sur les sargasses devrait avoir lieu chez nous, en fin d'année pour mettre en place une coopération internationale entre les pays de la Caraïbe dans cette lutte contre les algues brunes.
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