Tu as envie de draguer mais tu ne sais pas comment faire? Qu'à cela ne tienne, on t'offre plusieurs répliques d'un film culte choisi au hasard: La Cité de la peur. Les phrases suivantes t'assurent une séduction 100% efficace. Et si jamais ça marchait pas, tu peux tenter avec Kaamelott. 1. "Prenez un chewing gum" Insérer le prénom de l'objet de ses désirs. 2. 'Vous voulez un Whisky? - Juste un doigt... - Vous voulez pas un Whisky d'abord? ' C'est dans la poche. 3. 'On peut tromper mille fois mille personnes, non, on peut tromper une fois mille personnes, mais on ne peut pas tromper mille fois mille personnes. Non, on peut tromper une fois mille personne mais on peut pas tromper mille fois une personne. Non... " Pour faire comprendre que la fidélité et toi, c'est du solide. 4. "Simon, t'as un bout de pomme de terre sur la joue. " Plus efficace si la personne se nomme Simon. 5. "Alors que revoilà la sous-préfète" Tu as toujours eu l'amour de l'uniforme. 6. "Madame, je vous pisse à la raie. "
Top 7 des citations cultes de La Cité de la peur, qu'on se surprend encore à réciter 22 ans après sa sortie La Cité de la peur est sorti en 1994 au cinéma. Et 22 ans plus tard, on continue de réciter par cœur les répliques jouées par Alain Chabat, Chantal Lauby et Dominique Farrugia. Rendez-vous ce soir à 20h55 sur France 4 pour réviser ces répliques! © Studio Canal Plus Une attachée de presse (Chantal Lauby) profite d'une vague de crimes pour promouvoir au Festival de Cannes, un navet horrifique dont elle doit faire la promotion. L'occasion pour Les Nuls, avec Dominique Farrugia et Alain Chabat en tête, de nous abreuver de répliques devenues cultes. 7 - C'est Mozart, vous aimez? - Oui, c'est lequel? - Le dernier. 6 - Madame, je vous pisse à la raie! - Deray, Odile Deray… 5 - J'ai faim! - Bon qu'est-ce que vous voulez? - Ben j'sais pas, n'importe quoi… des gencives de porc. 4 - Qu'est-ce qu'il y a, vous êtes malade en voiture? - Non, c'est quand je suis content je vomis, et là je suis hyper content.
"Vous avez des bagages Simon? " Odile et Serge accueillant Simon Jérémi (Dominique Farrugia) à l'aéroport: " - Vous avez des bagages Simon? - Oh bah non! On m'a dit de venir, pas de venir avec des bagages. Pourquoi, il fallait que j'en prende? " Toute la scène de "l'aréoport" est en fait remplie de répliques cultes, comme celle-ci: " - Odile Deray? - Odile Deray: Non, je suis le pape et j'attends ma sœur. (... ) Bon, on y va? - On n'attend pas votre sœur? " Odile Deray Odile Deray (Chantal Lauby) essayant de retenir un journaliste interprété par Dominique Besnéhard: "- Madame, je vous pisse à la raie! - Deray, Odile Deray! De toute façon c'est moi qui vous rappelle... " Le comissaire Bialès Gérard Darmon est chargé de l'enquête et il est pour le moins rôdé! Dès que les journalistes l'interrogent, il n'hésite pas une seconde, répondant même dans plusieurs langues: "Écoutez, laissez la police faire son travail, dès que j'aurai de plus amples informations croyez bien que vous en serez les premiers informés. )
Personnage(s) Citations Benjamin dans Red is Dead Benjamin: Meurs, pourriture communiste! Projectionniste à sa femme Projectionniste: Ca va couper chérie! Veuve du 1er projectionniste et Odile Veuve: Pardon, du sucre? Odile: Oui seize... Veuve du 1er projectionniste à Odile Veuve: Je lui ai dit "Jacques, c'est la folie, il faut vendre la caravane! ", vous savez ce qu'il m'a dit? Il m'a dit "Banco"... Voix annonce de l'aéroport de Nice Voix: Aréoport de Nice, Aréoport de Nice, deux minutes à l'arrêt Odile et Serge Serge: Odile Deray? Odile: Non, je suis le pape et j'attends ma soeur Serge à Odile Serge: Oh, Serge… Karamazov… Aucun lien, j'suis fils unique. Non parce que Karamazov… les frères… Aucun lien, j'suis fils unique … Karamazov et Simon Simon: J'ai faim Karamazov: Bon qu'est-ce que vous voulez? Simon: Ben je sais pas, n'importe gencives de porc! Inconnu et Odile à l'hôtel Inconnu: Sarah Connor? Odile: C'est à coté Odile à Emile Odile: Oh si si, prenez un chewing-gum Emile. Bialès et Grimaldi Commissaire Bialès: La victime a été tuée à la saucisse et au marteau!
Mais on ne peut pas tromper mille personnes mille fois »
L'humour, l'autodérision, la mise en lumière de destins hors normes, la monstruosité des personnages, leurs désirs insatiables de reconnaissance et d'amour caractérisent cette pièce. On retrouve ici l'écriture de Sara Stridsberg à la fois violente, trash et poétique qui joue avec les contrastes entre ombre et lumière, entre pureté et obscénité. L'Art de Raconter: L'art de la chute. La sexualité, le rapport au pouvoir, la provocation, le féminisme, la question du genre, la société patriarcale étouffante, la solitude incurable de l'âme: autant de thèmes que son écriture dissèque. « Tout roman est un cercueil. L'auteur détruit ses personnages en même temps qu'il les décrit, qu'il leur donne vie. En voulant sortir du cercueil, en voulant apprendre à voler, le personnage devient le symbole de l'émancipation des femmes ». Sara Stridsberg
L'avancée de l'Empire ottoman sur l' Asie et l'Europe. Au XIVe siècle, les Turcs avaient déjà incorporé une bonne partie des provinces byzantines à leur territoire. L'intérêt de l'Empire ottoman à dominer la capitale byzantine étant donné qu'elle était située dans le détroit du Bosphore, un point stratégique où convergeaient les routes commerciales de l'Europe et de l'Asie. L art de la chute de montmorency. L'intérêt personnel de Mehmed II à conquérir la grande ville alors que son père, Murad II, avait précédemment assiégé la ville sans succès. Le déséquilibre des forces entre les deux empires. Les Ottomans, selon certaines sources, ont lancé l'attaque avec une armée de quatre-vingt mille hommes, tandis que les Byzantins ont fait face à la défense de leur ville avec seulement sept mille. La supériorité d'armement des Ottomans. Les Turcs avaient l'innovation des canons de gros calibre qui, avec les canons conventionnels de l'époque, permettaient de mettre en échec les murs de la ville. Le conflit interne au sein de l'Empire byzantin, entre ceux qui ont soutenu l'accord avec Rome et ceux qui ne l'ont pas fait, a rendu difficile et retardé presque jusqu'au dernier moment l'obtention du soutien en Occident.
Voilà quinze ans que l'auto-proclamé clown belge Jos Houben s'interroge sur la question. À sa manière, loufoque et décalée, il s'intéresse à ce qui fait travailler nos muscles zygomatiques dans "Le Chien de Bergson" (éditions Premier Parallèle), co-écrit avec le philosophe Christophe Schaeffer. Vous pourriez aimer aussi Les vidéos les plus vues sur ARTE
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