Un message fort dont il ne faut pas manquer de s'imprégner! Hachiko Monogatari de Seijiro Koyama (1987) Hachiko Monogatari est un film profondément émouvant tiré d'une histoire vraie, celle d'un professeur d'université et de son chien, Hachiko. Ce dernier l'accompagnait chaque matin à la gare de Shibuya, et venait le chercher chaque soir. À la suite d'un accident, son maître meurt, mais Hachiko continuera à venir l'attendre chaque soir jusqu'à sa mort, sept ans plus tard. En son honneur, une statue a été érigée sur le parvis de la gare. Pour de nombreux natifs, il est considéré comme un porte-bonheur. The taste of tea de Ishii Katsuhito (2004) Drôle, décalé, extravagant… en un mot: japonais! Le film s'immisce dans la vie d'une famille déjantée entre le fils qui peine à se remettre d'une histoire d'amour, la fille qui voit partout son double géant (! “Ne coupez pas !” : cinq raisons de découvrir le film japonais qui a inspiré “Coupez !”. ), la mère mangaka, le père hypnotiseur, l'oncle farfelu, et le grand-père qui semble tout droit sorti d'un manga. Autant d'éléments (perturbateurs) qui sont la promesse d'un cocktail détonnant à la saveur unique.
Elle tombe amoureuse au premier rendez-vous avec le charmant Koichiro. Très rapidement, le jeune homme, d'une plus haute extraction que la sienne, la demande en mariage. Parallèlement, on fait la connaissance de Miki. Elle aussi est jeune et jolie, mais elle a grandi en province dans une famille modeste et a dû pour des raisons économiques abandonner ses études pour lesquelles elle avait pourtant fait de nombreux sacrifices. "Aristocrats", un film édifiant sur les archaïsmes persistants dans le Japon d'aujourd'hui. Devenue hôtesse, elle vit à Tokyo et entretient une relation en pointillé avec un jeune homme qui n'est autre que … Koichiro. Yukiko Sode pose un regard aiguisé, mais tendre et ironique, sur la société japonaise d'aujourd'hui. A travers deux personnages de femmes, l'une tokyoïte, bien née, l'autre provinciale, d'un milieu plus modeste, la réalisatrice montre un visage du Japon marqué aujourd'hui encore par les traditions (et pas que chez les riches), avec des frontières étanches entre les deux mondes, avec des fractures sociales et culturelles très marquées et une propension à la reproduction sociale bien vivace.
I l est petit, seulement costaud des méninges et n'a donc rien à voir avec Conan le Barbare, encore moins avec Arnold Schwarzenegger. De fait, ce Détective Conan est l'une des grandes stars du manga et de la japanimation: 250 millions d'exemplaires vendus dans le monde en 2021, cent volumes parus depuis 1994, une série télé de 1 000 épisodes, des jeux vidéo ou encore une saga de 25 longs-métrages, dont le dernier, Détective Conan: la fiancée de Shibuya, est visible dans les salles françaises depuis le 18 mai. Film sur le japon partie 5. Lunettes rondes à la Harry Potter, grands yeux malins, le héros de ce long-métrage d'animation ultra-spectaculaire est un jeune justicier, adulte prisonnier d'un corps d'enfant: Détective Conan, dont la réplique préférée est « J'ai rétréci, mais pas mon Q. I. ». Dans cette nouvelle enquête qui se déroule pendant Halloween, notre fin limier va essayer avec ses amis de sauver à la fois le quartier de Shibuya d'un terroriste poseur de bombes et l'enquêteur Tôru Amuro, piégé par un collier explosif qui lui enserre le cou et risque d'exploser à chaque instant…Sorti à la mi-avril au Japon, La fiancée de Shibuya s'est imposé sans surprise en tête du box-office, tant la saga Détective Conan est un phénomène de société qui multiplie les records au pays du Soleil-Levant.
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