Enfin, retour sur l'histoire de ce "Squat de A à Z": - Octobre 1998: Un peu plus d'une quinzaine de parisien-ne-s, novices ou en provenance de squats parisiens expulsés ou "insatisfaisants", ouvrent un squat au 11, rue des Orteaux, dans le XXème arrondissement (Les Zortos). Ouvert sur des bases et des volontés politiques (anarchistes, autonomes), ce squat aura vécu trop de dissensions (sur diverses questions, mais notamment sur celles de la spontanéité et de l'organisation) pour réussir à avoir une présence et une contenance politique régulière (pas grand chose à signaler jusqu'en mars 1999 à part des fêtes de quartier, notamment place de la Réunion, et des cours d'alphabétisation chaque semaine qui auront impliqué environ une douzaine de non-habitant-e-s, pour la quasi-totalité immigré-e-s vivant dans le quartier). Trois ou quatre des habitant-e-s des Zortos se lancent dans un projet de guide du squat, en reprenant le relativement vieux et foireux "Guide juridique de l'occupant sans titre" et en le remodelant totalement, celui-ci étant très très incomplet et proposant parfois de mauvais conseils pratiques et des orientations politiques douteuses (très légalistes).
(traduction d'un texte de la revue madrilène Espacio) De la dépossession à l'autonomie en matière de communication (texte écrit jadis quelque part dans le mouvement squat toulousain) Occupation et défense des espaces autogérés (texte d'Alfredo M. Bonanno, 1987. En anglais ici) La rubrique squat de Cette Semaine et des Brèves du désordre ( 2007-2013 et 2013-2016) La rubrique squat du Jura libertaire La rubrique squat du Chat Noir Émeutier Le mot-clé squat sur Sans Attendre Demain La revue L'En-ville, récits de transformations urbaines sur Montreuil et Bagnolet (Seine-Saint-Denis): La revue Rafale, le copain des bois de la débrouille:
Plusieurs d'entre nous partant vers d'autres horizons, nous sommes donc trois ou quatre à garder sur disquette le contenu du "Squat de A à Z", l'idée étant depuis le début de continuer à travailler dessus (work in progress). N'étant plus en contact régulier avec les autres personnes impliquées initialement dans le projet, je suis resté, à ma connaissance, le seul à avoir continué à bosser dessus. Avec d'autres personnes, cette fois. Le guide du squat de a à z cotations. - Octobre 1999: Je déménage à Dijon, et les quelques changements parus dans "Le squat de A à Z" sont alors le fait de quelques squatteureuses du 3, rue Saumaise (ouvert en octobre 1999, expulsé en avril 2000 après une période mouvementée émaillée d'embrouilles plus ou moins sérieuses avec la flicaille). Les changements ne concernent que des éléments pratiques, mais entre mars 1999 et aujourd'hui, il y a tout de même pas mal d'erreurs et d'imprécisions qu'il était utile de rectifier et il ne peut qu'être utile de continuer à peaufiner les approximations du "Squat de A à Z", non?
C'est, de fait, ne pas payer de loyer à des proprios qui possèdent plus d'un logement quand nous n'en possédons aucun. LE SQUAT de A à Z (Mise à Jour – Octobre 2014) - CSOA Le Palmier. Squatter, c'est critiquer en actes un système qui veut que les riches continuent de s'enrichir sur le dos des pauvres. Squatter, c'est aussi habiter au sens plein du terme: c'est être libre et responsable dans son lieu de vie. C'est pouvoir y faire ce que l'on veut sans se référer à un proprio qui de toute façon n'y vit pas. C'est aussi un moyen de survie quand on ne peut pas/plus payer de loyer (un moyen qui peut mener à se questionner sur nos façons de vivre, sur le travail, la famille, la vie collective, le train-train quotidien, sur les possibilités de vivre nos idées dans une telle société).
Ce n'est pas si compliqué, c'est plutôt excitant et si c'est fait dans les règles de l'art, tu risques quasiment rien. Le Poing s'inspire des brochures de squatteurs, notamment « Le Squat de A à Z », pour vous donner des conseils pour ouvrir un squat et ne pas se faire expulser trop vite. Squatter, ça veut dire vivre dans un bâtiment abandonné sans avoir demandé d'autorisation à personne. C'est refuser de payer un loyer à un propriétaire qui possède plus d'un logement quand d'autres n'en possèdent aucun. Certains squats se revendiquent militants et/ou culturels, d'autres sont juste des lieux d'habitation. De fait, tout squat est « politique » dans la mesure où c'est une contestation en acte de la propriété privée. Si tu te lances dans cette lutte, tu vas donc rejoindre le camp de ceux que l'État et la police considèrent comme « indésirables ». Le guide du squat de a à z. Toi aussi, rejoins le côté obscur de la force! Read More « Le Figaro » en mode propagande anti-squat Lundi dernier, paraissait dans le quotidien de droite Le Figaro un gros dossier anti-squat, en pages 2 et 3, intitulé « Squats: la riposte des propriétaires s'organise ».
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