Le candidat à la présidentielle, Emmanuel Macron, le 18 novembre 2016 à Marseille-AFP/BERTRAND LANGLOIS Soutenir Macron, pousser Valls à se lancer ou proposer sa propre candidature? Le Parti radical de gauche semble écartelé entre les stratégies possibles pour aborder la présidentielle dans une gauche fracturée et plus divisée que jamais. Macron et pologne. Mercredi, le bureau national de ce petit parti resté loyal à François Hollande pendant tout le quinquennat a voté à l'unanimité un texte condamnant "les prises de positions individuelles pour la présidentielle". Une réponse sèche aux parlementaires radicaux comme le député Alain Tourret ou le sénateur Jacques Mézard qui s'affichent ouvertement en faveur de la candidature d'Emmanuel Macron et appellent le parti à les suivre. "Dire qu'il n'y a pas de position unanime au PRG est une litote", a confirmé à l'AFP M. Tourret, pour qui "c'est une chance pour notre parti d'avoir l'opportunité de soutenir un candidat comme Emmanuel Macron". "Le radicalisme se retrouve dans les idées" de l'ancien ministre de l'Économie, selon lui.
La suite après la publicité Mais un parlementaire glisse, plus prudent: "s'il y a une candidature que nous soutiendrions, ce serait naturellement un candidat radical de gauche".
(…) Sur ces thématiques-là, je suis profondément déçue, encore plus que sur la politique économique et sociale. Sur les valeurs fondamentales, c'est décevant » accuse Sylvia Pinel. « Ce qui m'a beaucoup choqué dans le débat, c'est l'amalgame voulu entre l'immigration et les demandeurs d'asile. On a tout mélangé » ajoute-t-elle encore. Macron et pinel de la. Elle n'apprécie donc pas plus les mesures annoncées cette semaine par le gouvernement sur l'immigration. « Il y a plusieurs choses qui me choquent, on apprend la veille un certain nombre de mesures, le gouvernement le traduit dans la nuit par voie d'amendements, il n'y a ni débat dans les commissions permanentes. Ils ne respectent pas la démocratie. On n'a pas le temps d'étudier les amendements » regrette la conseillère régionale d'Occitanie, qui ajoute qu'« on se précipite pour faire de la communication. On ne s'attaque pas au vrai sujet. C'est une technique politique qui perdure depuis quelques temps ». Publié le: 08/11/2019 à 14:17 - Mis à jour le: 08/11/2019 à 16:26 Plus de vidéos Société Fraude alimentaire, un crime organisé?
Pokemon Gold Rom Ds, 2024