Hervé Louis rencontre Adrien de Schompré, un entrepreneur titulaire d'un master de l'Essec qui connaît bien la franchise et qui vient de vendre sa start-up. Il a les compétences qui leur manquent pour s'étendre en province et à l'international. "Nous étions très parisiens, reconnaît Hervé Louis. Lui avait une vision du développement de la marque par la franchise. " Il devient leur associé, rapidement surnommé "le blond" en référence à un sketch de Gad Elmaleh. Pendant un an, ils préparent ensemble une sorte de bible destinée, selon Adrien de Schompré, à "rendre le modèle de Sushi Shop déclinable". Au salon de la franchise, en 2008, le concept séduit, les candidatures affluent. "Nous étions novateurs, explique Adrien de Schompré. Nous étions le seul acteur dans le domaine du sushi livré à domicile. " L'entreprise multiplie les implantations en France. "On a passé notre temps sur les routes avec Adrien, raconte Grégory Marciano, et on a commencé à se structurer. On devait sans cesse trouver de nouveaux bureaux. "
Il se murmure que les trois fondateurs de Sushi Shop ( Grégory Marciano, Hervé Louis et Adrien de Schompré) se seraient installés dans notre pays. Les amateurs de sushis connaissent par coeur la carte de Shushi Shop, leader de la livraison de sushis en Belgique. Le groupe d'origine française est hyper présent dans l'Hexagone mais s'est aussi, plus modestement, installé en Espagne, au Luxembourg, en Suisse et à New York. Son chiffre d'affaires dépasserait 120 millions d'euros. Chez nous aussi, Sushi Shop est actif, depuis plusieurs années, avec trois points de vente à Bruxelles (appartenant au groupe) et un à Waterloo (en franchise). Un nouveau shop est également annoncé à Anvers et la croissance pourrait bien continuer de plus belle. Il se murmure, en effet, que les trois fondateurs du groupe ( Grégory Marciano, Hervé Louis et Adrien de Schompré) sont de plus en plus présents chez nous. Certains évoquent même qu'ils se seraient installés dans notre pays: il faut dire que le trio détient toujours 75% du capital de l'enseigne et se classerait, d'après nos confrères de Challenges, dans le Top 500 des plus riches Français, depuis la vente de 25% à Naxicap Partners en septembre 2011.
Et l'avenir se présente sous les meilleurs auspices pour SmartKitchen, qui envisage une accélération du maillage national pour l'accompagnement de ses 7 marques; l'arrivée de 3 nouvelles autres d'ici l'été … et de la place pour 5 autres encore. Une vingtaine de nouvelles cuisines sont aussi en projet pour 2022 – chacune réalisant un CA annuel embarqué de 3 millions d'euros (qui devrait monter à 4, 5 millions d'euros à maturité), et SmartKitchen travaille d'ores et déjà à une nouvelle opération de levée de fonds prévue fin 2021, pour un développement en Europe. À LIRE AUSSI… > Les dernières actualités du secteur de la restauration commerciale
Je me sens bien partout. La lumière traversant l'espace, il y a toujours un rayon à suivre, un tableau de verdure à regarder, c'est très apaisant. Que manque-t-il chez toi? Une pièce! Il manque toujours une pièce et la mer aussi! J'aimerais pouvoir réinventer chaque pièce au quotidien comme un tableau surréaliste. Faire marcher mon inconscient et vivre avec des rencontres surréalistes! Mélanger les gens et les genres. Un conseil déco à nous transmettre? Mixer les coups de cœur. La faute de mauvais goût à ne pas commettre? Ne rien tenter par peur d'en commettre une. J'aime quand les fautes deviennent un style assumé. Ne pas se prendre au sérieux. La pièce pas chère dont tu es la plus fière? Les masques d'animaux en plastique de la chambre des filles. Un vrai zoo à la maison qui se range le soir sagement sur son mur de nuages Fornasetti … Le dernier restaurant que tu recommanderais à Paris où ailleurs? A Neuilly, ma cantine Livio, avec son trio d'enfer: Charles, Pierre et Stéphane, un petit déjeuner à Londres chez Daylesford, une tarte aux Deux Abeilles, une box Sushi Shop livrée comme un parfum… Adresses déco sur le web ou à Paris?
Pokemon Gold Rom Ds, 2024