On monte encore d'un cran avec « The Thing I Want », titre entrainant et accrocheur comme c'est pas permis qui s'inscrit directement comme un classique potentiel. L'acoustique « The Rain » apporte avec sa mandoline un parfum de grands espaces ricains avant un « Black Water » en mode Rock tranquille et classe. Plus agressif, « The Prophet » manque malheureusement du sens mélodique des morceaux précédents. Parfum chris adams pour femmes. Mais si la ligne de chant est assez faiblarde, le jeu des musiciens ne saurait être pris en défaut. En revanche, malgré son côté mélodique, on trouvera le Rock poppy de « Ressurection Day » trop bateau et passe-partout pour vraiment convaincre. Le blusey « Chasing Shadows » avec son gros riff et ses petites touches orientalisantes remet bien vite l'album sur des rails plus solides et satisfaisants. L'ombre de Led Zeppelin n'est pas très loin. Sur « Broken », ce serait plutôt celle d'Elton John. Mais attention, le Elton John des 70's qui pouvait nous sortir des petits bijoux Pop/Rock derrière son piano.
Un roman découpé en plusieurs parties au fil des saisons. Ce roman fait du bien, il est doux et chaleureux. Une histoire de famille et d'amitié à découvrir. Un roman sur la différence, le temps qui passe, les regrets, les souvenirs. Un premier roman d'une grande justesse et qui nous fait grandir un peu nous aussi. Merci aux Editions Le Livre de Poche pour cette lecture
Wonder Days marque le retour tant espéré de Thunder après cinq années de séparation. Ce dixième album a cependant été enregistré dans des conditions particulières puisque le guitariste Ben Matthews en fut absent en raison d'un cancer (qu'il réussira heureusement à vaincre). J'ai personnellement toujours considéré Thunder comme l'équivalent britannique des Black Crowes. Voilà deux groupes qui obtinrent un joli succès dans les 90's avec un Classic Rock 70's. Deux groupes dont il est d'ailleurs permis de penser que leur succès dans les dites 70's aurait été moindre en raison d'un manque de personnalité qui leur aurait été défavorable face aux cadors de l'époque. Mais je m'égare. Car si Thunder n'a pas le génie de Led Zep, Aerosmith, les Who ou les Rolling Stones, ils proposent tout de même à chaque fois des albums de qualité. Et à ce petit jeu, Wonder Days montre d'ailleurs un retour en force! Tout est en effet en place dès « Wonder Days » depuis la voix chaude de Dannys Bowes, les gros riff de Luke Morley et la session rythmique bien lourde d'Harry James et Chris Childs.
Et lorsqu'elle lit cette petite annonce, elle décide de tout quitter, avec pour seul bagage ses vinyles sous le bras. Elle fuit une vie qui ne lui convient plus, sans rien dire de plus à son mari. Elle répond à cette petite annonce du journal, et se retrouve face à une vieille bâtisse en pierre aux volets bleus, perchée sur une colline, et loin de tout. Raymonde l'accueille avec une joie qui surprend Jeanne et qui en même temps lui fait du bien. Raymonde c'est la vieille dame un peu loufoque de l'annonce. Fantasque, oui elle l'est. Raymonde recherche une dame de compagnie pour l'aider dans le quotidien, enfin c'est ce qu'elle fait croire à tous. Tout plaît à Jeanne au premier abord. Le calme, le paysage, rien aux alentours, et puis cette femme âgée et son côté fantasque, libre et rebelle. A la ferme, il n'y a pas que Raymonde et sa nouvelle locataire. Il y a également Lucas, le petit-fils de Raymonde. Un jeune homme beau comme un dieu et du plus lointain qu'il s'en souvienne, Raymonde a toujours été là pour Lucas, elle habitait sa vie.
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