Et ce désintérêt se traduit immédiatement par des conséquences budgétaires: Bercy en profite comme au début du précédent quinquennat. Il n'est donc pas impossible que nous vivions un scenario du même type que la diminution forcée des APL, il y a cinq ans; cette fois, c'est le blocage des loyers qui se profile à l'horizon. Personne n'ignore les effets dévastateurs, à terme, d'une telle mesure. Bureau de ministre de. Mais c'est une des rares dispositions qui ne coute rien — en apparence et au début — au budget de l'Etat, ce que, même en période de « quoi qu'il en coûte » est délicieusement apprécié par le grand argentier. Ajoutons que ce blocage est populaire (il y a beaucoup plus de locataires que de bailleurs): il n'est donc pas impossible qu'Amélie de Montchalin (qui a fini par revendiquer ce sujet parmi ses attributions) ou mieux, son ministre délégué ait à défendre, demain, cette mesure qui devrait, elle aussi, réaliser la quasi-unanimité des acteurs contre elle…
L'absence d'un titulaire du portefeuille du Logement est révélatrice de bien des aspects de la France contemporaine: d'abord, elle montre combien libéraux et interventionnistes sont d'accord sur un seul point: il (leur) faut un ministre (on lira à ce sujet le « Point de vue » de Philippe Pelletier). Tous les professionnels, comme les analystes, même ceux qui réclament à grands cris moins d'État ont communiqué leur frustration, voire leur colère à l'énoncé de la nouvelle équipe gouvernementale. Logiquement, les partisans d'une action publique forte en cette matière ont entonné le même lamento. Pluies record à Hanoï: risques de grêle et d'inondations. Il est donc probable que le remaniement post législatives fasse apparaître un ministre délégué ou un secrétaire d'État affecté au Logement et attribué à un rallié de la majorité sortie des urnes (si c'est le cas). Mais cette absence est surtout le signe d'un phénomène que nous avons déjà évoqué (on le retrouve d'ailleurs dans notre série documentaire de podcasts « Ma vie de ministre du Logement »): quand le chef de l'État, ou à tout le moins, la Première ministre (qui, au début de sa carrière dans le cabinet de Lionel Jospin avait portant le logement dans ses attributions — mais c'est à l'époque Serge Contat qui suivait spécifiquement les questions de logement —), ne s'intéressent pas au sujet, celui-ci est relégué dans les questions techniques… que le politique néglige.
Derrière ce langage technocratique, il y a la nécessité pour le groupe d'accroître l'acceptabilité de l'éolien et du solaire par les riverains et donc de limiter les recours qui freinent son activité. → ANALYSE. Renouvelables: le gouvernement veut accélérer… sauf sur les éoliennes terrestres « Il y a une demande forte des entreprises pour avoir un tiers de confiance capable d'auditer de manière indépendante ce qu'elles font en matière de développement durable », explique Jacques Pommeraud, le directeur général de Bureau Veritas pour la France et l'Afrique, en rappelant que ce marché n'existait pratiquement pas il y a cinq ans. Bureau de ministre de la culture. Mais elles sont nombreuses à être soupçonnées de greenwashing – maquillage de leurs pratiques pour les rendre plus vertes – par leurs clients et leurs actionnaires. Création d'un label « Bas-Carbone » dans l'immobilier De son côté, Bureau Veritas met en avant son expérience dans les référentiels de conformité. Il ne s'agit plus d'être dans la nuance, mais d'être binaire pour dire si telle ou telle pratique répond ou non aux objectifs affichés.
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