Ne pas confondre avec la structure de corps de nombres en arithmétique. Symbole Appellation ensemble des entiers naturels ensemble des entiers relatifs ensemble des décimaux ensemble des rationnels ensemble des réels ensemble des complexes En mathématiques, un ensemble de nombres est l'un des ensembles classiques construits à partir de l'ensemble des entiers naturels et munis d' opérations arithmétiques, apparaissant dans la suite d' inclusions croissante (explicitée ci-contre): L'expression peut être aussi utilisée pour désigner un sous-ensemble de l'un d'entre eux. Ensemble des nombres entiers naturels n et notions en arithmétique l. En particulier, un corps de nombres est une extension finie du corps des rationnels dans celui des complexes. La notion de nombre est fondée sur l'appartenance à l'un de ces ensembles ou à certaines structures [ 1] reliées comme les algèbres hypercomplexes des quaternions, octonions, sédénions et autres hypercomplexes, le corps des p -adiques, les extensions d' hyperréels et superréels, les classes des ordinaux et cardinaux, surréels et pseudo-réels … Notes et références [ modifier | modifier le code] ↑ Certaines classes de nombres ne sont en effet pas des ensembles.
On dit que \(a\) est pair s'il existe \(k\in\mathbb{Z}\) tel que \(a=2k\). Autrement dit, \(a\) est un multiple de \(2\). On dit que \(a\) est impair s'il existe \(k\in\mathbb{Z}\) tel que \(a=2k+1\). Exemple: \(23=2\times 11+ 1\), \(23\) est donc impair. Nature des Nombres - Arithmétique. On a les propriétés suivantes: La somme de deux nombres pairs est un nombre pair La somme de deux nombres impairs est un nombre pair La somme d'un nombre pair et d'un nombre pair est un nombre impair Démonstration: Le premier point est une conséquence directe d'une propriété de la partie précédente: deux nombres pairs sont des multiples de 2. Leur somme est donc un multiple de 2. Nous allons démontrer que la somme d'un entier pair et d'un entier impair est un nombre impair. Soit \(a\) un nombre pair et \(b\) un nombre impair. Puisque \(a\) est pair, il existe \(k\in\mathbb{Z}\) tel que \(a=2k\). Puisque \(b\) est impair, il existe \(k'\in\mathbb{Z}\) tel que \(b=2k'+1\) Ainsi, \(a+b=2k+2k'+1=2(k+k')+1\). Or, \(k+k'\) est un entier relatif, \(a+b\) est donc un nombre impair.
Division euclidienne Soient $a$ et $b$ deux entiers relatifs. On dit que $a$ divise $b$, ou que a est un diviseur de $b$ s'il existe $k\in\mathbb Z$ tel que $b=ka$. On dit encore que $b$ est un multiple de $a$. Théorème (division euclidienne): Soient $(a, b)\in\mathbb Z^2$ avec $b\neq 0$. Il existe un unique couple $(q, r)\in\mathbb Z^2$ tels que $$\left\{ \begin{array}{l} a=bq+r\\ 0\leq r< |b|. \end{array} \right. $$ $q$ s'appelle le quotient et $r$ s'appelle le reste. pgcd, ppcm Si $a$ et $b$ sont deux entiers relatifs dont l'un au moins est non-nul, alors le pgcd de $a$ et $b$, noté $a\wedge b$, est le plus grand diviseur commun de $a$ et $b$. Cette définition se généralise à plus de deux entiers, en supposant toujours qu'au moins un est non-nul. Si $a=b=0$, on pose $a\wedge b=0$. Ensemble des nombres entiers naturels n et notions en arithmétique 2. On a $(d|a\textrm{ et}d|b)\iff d|a\wedge b$. Si $a, b, k\in (\mathbb Z\backslash\{0\})^3$, alors $(ka)\wedge (kb)=|k|(a\wedge b)$. Algorithme d'Euclide: Si $r$ est le reste dans la division euclidienne de $a$ par $b$, alors on a $$a\wedge b=b\wedge r. $$ On en déduit l'algorithme suivant pour calculer le pgcd pour $a\geq b\geq 0$.
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