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Ce poème sera alors fondé en premier lieu sur des oppositions. Un paysage de vie et de mort nous est révélé ici, formant ainsi tous deux un contraste sur l'arrivée du printemps et sur le déclin de cette saison. Lecture analytique mai apollinaire et. Nous pouvons en effet relever des éléments de vie, tout d'abord par la métonymie qui signale l'arrivée du printemps, mais aussi par la description méliorative que nous donne à voir le poète sur le mois de Mai. Cette présentation positive se marque par la répétition du mois de « Mai » qui montre l'image d'un amour printanier, par le paysage en mouvement: « la barque s'éloigne », par l'adjectif méliorative « jolie » et par le rythme embrassé qui donne une certaine rapidité au poème. De plus, le champ lexical d'une nature vivante et printanière « mai », « saule », « roseaux » et « oiseaux » et le champ lexical de la fleuraison « fleur », « pétale » et « cerisiers » renvoient l'idée de l'épanouissement de la nature. Cette description magnifiée annonce pourtant l'illusion du poète qui est associé à la mort.
La vie triomphe dans ce mouvement du vent, du Rhin, "secouer", Les 3 éléments de la nature qu'on voit bouger sous la force du vent. Jaseur: renvoie au personnage de Midas. Il s'est moqué d'Apollon et il a été condamné à porter des oreilles d'ânes. Seul le coiffeur le savait. IL a creusé la terre et l'a révéler à la terre. Les roseaux qui l'on entendu jasent. Ils font passer un message. ] Le "mai" est vraiment devenu un personne: sujet du verbe "paré" dont le complément "ru-ine": diérèse Ruine: C'est à la fois ce qui reste ce qui montre la dégradation du temps mais elles sont aussi ce qui demeure du passé, la trace de ce qui a disparu. Apollinaire, Mai : étude linéaire. Les ruines peuvent être celles des châteaux de la première strophe. Le lierre représente l'amour fidélité (assonances en ier) La vigne vierge de porte pas de fruits: stérilité pour monter le rapprochement avec la 1ère strophe, un amour impossible qui n'a pas porté de fruits. L'homme à disparu, seul subsiste la nature. ] Le fleuve, le Rhin est le symbole de la fuite du temps.
« Mai » fut d'abord publié en 1905 avec l'indication « Mai 1902 » qui indique le caractère personnel du poème. Apollinaire y recourt à la narration qui évoque une promenade en bateau et à la description qui évoque le paysage; mais surtout, grâce à la narration et à la description, il suggère son état d'âme en créant un paysage mental.
Cette présence humaine donne lieu à deux spectacles. Le premier, statique, ne se déroule que sur un vers: le locuteur est observé par les dames et il les observe. Le second se développe plus longuement (Apollinaire passe alors du quatrain au quintil) et de manière à peine plus dynamique, puisque le déplacement se fait « lentement » ce que traduit le trimètre »Sur le chemin (4) du bord du fleu (4) – ve lentement (4) ». III/ Un paysage mental 1/ La confusion des temps Le poème mêle le présent (« la barque s'éloigne », « Le vent du Rhin secoue »), l'imparfait (« S'éloignait [... Lecture analytique mai apollinaire 2020. ] un air de régiment ») et le passé composé (« Qui donc a fait pleurer », « le joli mai a paré »). Ces trois temps apparaissent successivement dans le premier quatrain. Cette confusion des temps correspond à une confusion mentale du locuteur qui ne distingue plus entre le passé de la promenade et le présent de la mémoire, depuis qu'il a perdu son amour. 2/ Les spectacles, reflet d'un état mental Les « dames », malgré l'échange de regards entre elles et le locuteur, sont inaccessibles puisqu'elles sont sur une hauteur et que lui est sur le fleuve.
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