Le Dernier Voyage en salle le 19 mai 2021 est réalisé par Romain Quirot. La durée du film est de 90 minutes. On y retrouve le casting suivant: Hugo Becker, Lya Oussadit-Lessert, Paul Hamy, Émilie Gavois-Kahn, Jean-Luc Couchard, Darius Garrivier, Jean-Baptiste Blanc, Bruno Lochet, Philippe Katerine, Jean Reno. Alors c'est quoi l'histoire? Dans un futur proche, une mystérieuse lune rouge est exploitée à outrance pour son énergie. Alors qu'elle change brusquement de trajectoire et fonce droit sur la Terre, Paul W. R, le seul astronaute capable de la détruire, refuse d'accomplir cette mission et disparaît. Traqué sans relâche, Paul croise la route d'Elma, une adolescente au tempérament explosif qui va l'accompagner dans sa fuite. Découvrez les films au cinéma en ce moment Découvrez les sorties cinéma de la semaine Découvrez les prochaines sorties cinéma Découvrez notre rubrique cinéma Fiche d'identité Sortie: 19 mai 2021 Genre: Science-fiction Titre original: Le Dernier Voyage Durée du film: 90 minutes De Romain Quirot Avec Hugo Becker, Lya Oussadit-Lessert, Paul Hamy, Émilie Gavois-Kahn, Jean-Luc Couchard, Darius Garrivier, Jean-Baptiste Blanc, Bruno Lochet, Philippe Katerine, Jean Reno
Le Dernier voyage - Extrait 3 - VF - (2020) par Orange - Webedia Dans un futur proche, une mystérieuse lune rouge est exploitée à outrance pour son énergie. Alors qu'elle change brusquement de trajectoire et fonce droit sur la Terre, Paul W. R, le seul astronaute capable de la détruire, refuse d'accomplir cette mission et disparaît. Traqué sans relâche, Paul croise la route d'Elma, une adolescente au tempérament explosif qui va l'accompagner dans sa fuite.
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Autant dire que si Elvis est loin d'être parfait, il jouit entièrement de la dévotion d'Austin Butler à son rôle. Le comédien élève chaque séquence de concert grâce à son sex-appeal et son charisme, magnifiant un peu plus le dynamisme conféré par la mise en scène de Luhrmann. Puis, soudainement, Elvis prend une autre tournure dans sa deuxième partie. Alors que la carrière d'Elvis Presley est déjà bien entamée et que son succès est de plus en plus retentissant, Baz Luhrmann ralentit la cadence, atténue la démesure esthétique et plonge dans une réflexion beaucoup plus mélancolique et politique. Austin Butler en Elvis, ou la naissance d'un grand acteur Évidemment, Elvis n'a rien de bien surprenant en tant que biopic, suivant une narration quasi-entièrement chronologique pour raconter la vie d'Elvis Presley. Et d'ailleurs, sans le style caractéristique de Baz Lurhmann, Elvis aurait pu tristement ressembler à un biopic classique avec tous les clichés inhérents du genre (succès et déchéance, unes de journaux, images d'archives, panneau de fin... ).
Cela dit, cette deuxième partie est sans doute la plus passionnante du long-métrage. Parce qu' avec Elvis, Baz Lurhmann raconte surtout tout un pan de l'Amérique des années 50-70. Il dépeint en particulier l'influence majeure du King sur la culture et une certaine libération des moeurs aux États-Unis, sans surprise. Mais plus encore, le long-métrage raconte les différentes manipulations politiques pour empêcher cette vague "d'africanisation" du peuple américain, tout autant que la naissance du merchandising et du spectacle business. Elvis décrit avec habileté les bouleversements sociétaux et économiques de l'époque (et parfois toujours actuels, notamment avec les fausses polémiques sur un soi-disant "envahisseur wokiste"). Le malin et vicieux Colonel Parker aka Tom Hanks Dès lors, Elvis gagne en profondeur. D'autant plus qu'il n'oublie pas dans le même temps d' explorer son Elvis, vedette planétaire d'un côté, prisonnier d'une cage dorée dont il ne peut se départir de l'autre, le monde ne remarquant rien de (ou ne souhaitant pas remarquer) la déchéance physique de son icône.
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