Cela faisait longtemps que je n'avais pas parlé de projets Arduino sur ce blog… Il était donc temps de rattraper ça 🙂 Dans le cadre d'un projet perso (et encore secret 😉), j'avais besoin de réaliser rapidement et simplement une interface graphique pour piloter un Arduino Uno. Ce projet n'ayant ni bluetooth, ni wifi, et n'étant de toutes façons pas très motivée pour développer un protocole de communication, je recherchais une solution « clé en main ». C'est à ce moment là que je suis tombée sur le projet Azande: L'idée ici est de coder l'interface graphique directement dans le code Arduino. A l'aide de structures simples, on définit ainsi des boutons, des compteurs… Mais comme un exemple vaut mieux qu'un long discourt, en voici un: faire varier l'intensité lumineuse d'une led grâce à différents boutons Azande. Voici le code: Et l'interface générée: En somme, les éléments d'interface se définissent dans « define_int_event », « define_int_commande » et « define_enum_command ». La fonction loop() se borme ensuite à écouter sur le port série un flux, et, lorsque la commande « cmdLum » est reçue, à exécuter la fonction SetLum, qui change la luminosité de la led, et à envoyer une mise à jour à « eventLum » pour mettre à jour le compteur.
On peut sélectionner le bloc correspondant à la structure de contrôle souhaitée: Boucle faire …, Si … alors …, Tant que … La qualité de la traduction varie en fonction des versions. Des sous-programmes peuvent être réalisés (blocs non visibles sur cette image). (Source: Collège Jean Macé) Interface graphique d'Ardublock, avec un programme pour faire clignoter une LED sur la broche 13. Des commentaires ont été ajoutés, ici en jaune pâle (ils peuvent être masqués éventuellement). Cliquer sur l'image pour zoomer. (Source: Collège Jean Macé) Les blocs s'emboitent comme des pièces de puzzle de manière à empêcher la plupart des erreurs de syntaxe. Déplacer ou copier des blocs se fait très simplement. Pour supprimer des blocs, on les glisse en dehors de l'espace de travail, tout simplement. Autre exemple de programme écrit avec Ardublock: commande de la sortie 10 (lampe par exemple) à partir d'un capteur de lumière (entrée 5 mémorisée dans la variable Lum) avec deux seuils (< 500 ou > 600) et/ou de l'entrée 12 (bouton poussoir par exemple).
0 Checkbox event: [0] 0. 0 a textfield event: qegert a button was clicked: 26 Bonus: Créer un fichier executable Une fois que votre interface est développée, il est facile de la compiler et de la partager en utilisant la fonction « Export » du logiciel Processing. Pour cela allez dans le menu « Fichier » et sélectionnez « Export… ». Vous pouvez ensuite choisir l'OS que vous souhaitez et si vous voulez rajouter une distribution de Java dans l'exécutable. Deux dossiers vont apparaitre dans le dossier du script dans lequel se trouve des exécutables pour les versions 32 et 64bits de Windows. De cette manière, vous pourrez créer et partager facilement des interface graphique avec Processing. Applications Développer des interfaces graphiques pour communiquer via le port USB avec des Arduino, Raspberry Pi et NodeMCU Créer des applications pour smartphone et communiquer via Bluetooth avec les cartes type Arduino Créer des interfaces graphiques pour communiquer sans-fil avec des Arduino, Raspberry Pi et NodeMCU Sources Page de téléchargement Processing Tutoriels pour Processing ControlP5 Tutorials
Cependant, tous ces frameworks ont un défaut, si tant est que cela en soit un, celui de ne pas avoir d'interface graphique permettant la création du réseau neuronal lui-même. En particulier pour les néophytes qui souhaitent découvrir et s'exercer. Certes après apprentissage, le modèle peut être sauvegardé sous différents formats PB, ONNX [6] pour être inféré ensuite dans l'application finale. Toutefois, lors de sa construction, le réseau de neurones est défini via une succession de lignes de code décrivant chaque couche du réseau.... Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 98% à découvrir.
Pour ce faire, il faut d'abord indiquer au logiciel la carte qui recevra le programme. Naviguez vers le menu « Outils", puis vers "Type de carte" et sélectionnez le type correspondant à la carte que vous avez branchée à votre machine. Si votre carte n'est pas présente dans la liste, vous pouvez faire une recherche en cliquant plutôt sur "Gestionnaire de carte". La fenêtre qui apparaît vous permet de chercher puis de télécharger le type de votre carte. Une fois le type sélectionné, vous devez aussi indiquer le port sur lequel votre carte est branchée. Vous le trouverez dans le Menu "Outils" puis "Port". Vous pouvez maintenant envoyer votre programme sur l'Arduino en cliquant sur le bouton "Téléverser". Après l'étape de compilation, le programme est transféré sur la carte. Vous aurez, au niveau de la console de débogage, un message vous indiquant que le téléversement est terminé. Une fois le programme installé, dès que vous allumez votre carte Arduino, elle réagira comme suit: la LED s'allume.
Win32 (Winforms) est une architecture légèrement obsolète. WPF a une courbe d'apprentissage plus raide, mais cela en vaut la peine si vous voulez devenir compétent. S'il s'agit d'une application unique, ne vous inquiétez pas, utilisez winforms. J'ajouterai quelques points. Le débogage d'Arduino est nul. Je suis gentil. L'IDE Arduino se déploie sur le port com 1 et imprime les messages de débogage sur le port com 1, donc si vous avez besoin de communiquer sans interruption par le débogage et le déploiement, qu'utilisez-vous? Pas le port com 1 à coup sûr. Regardez le numéro de série du logiciel au début et attribuez des ports en fonction de ses exigences. Deuxièmement, écrire votre propre pile com est stupide, mais cela se fait 99% du temps. Regardez MQTT si Ethernet est disponible, MQTT-SN si ce n'est pas le cas, CmdMessenger ou CommandSerial ou quelque chose de similaire ou passez des jours à concevoir, écrire, réécrire et déboguer vous-même, votre choix. Tweet Share Link Plus Send Pin
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