SAINT-JOSEPH. Une femme a refusé de se soumettre aux demandes de fellation répétées de son mari alcoolisé, au point d'en subir son courroux et sa violence. SAINT-JOSEPH. "Quand une femme dit non, c'est non... ", même lorsqu'il s'agit de votre femme. C'est l'amère leçon qu'a retirée Gérard, un père de famille saint-joséphois de 54 ans. À la barre du tribunal de Saint-Pierre, c'est une famille qui se déchire, une histoire de 20 ans qui se finit. Car l'homme est tombé dans l'alcool mauvais. "Depuis le confinement, j'ai arrêté le trail et je suis tombé dans l'alcool... ", constate-t-il. "Quand une femme dit non, c'est non...". Le 30 janvier dernier, après s'être largement alcoolisé, il se met en tête d'avoir des rapports avec sa femme. "J'ai dit oui parce que je voulais que ça passe... ", lâche la mère de famille à la barre. Mais son mari revient à la charge, lui imposant un nouveau rapport oral. Elle lui dit non mais il ne l'entend pas ainsi, la bloque dans la chambre et lui maintient les mains plaquées pour lui imposer sa volonté.
Ce mythe est éclaté au sol, ce mythe est construit, ce mythe est injuste et puant. Il est temps de s'en débarrasser. Ça commence par le traquer. Voir comment et où il se raconte et s'installe. Puis laisser la place à d'autres voix, d'autres récits. Et s'autoriser à ne pas y correspondre, parce qu'en fait on s'en fout. Bisous, Sev
Pourtant "quand il ne boit pas, il a le cœur sur la main", explique sa femme devant le tribunal. "Elle a bon dos, la pulsion masculine", tacle la procureure. En pleurs à la barre, il finira par s'excuser. Le tribunal a condamné Gérard à une peine de 12 mois de prison avec sursis. Il a également écopé d'une obligation de soin et l'interdiction d'entrer en contact avec la victime. LAURENCE GILIBERT
alors oui il avait des comportements un peu étranges, aujourd'hui on dirait une santé mentale défaillante mais on met quand même si facilement des étiquettes, c'est juste que voilà, il puisait sa créativité dans le malheur/la drogue/le délire/la colère, etc. alors oui, il a fait quelques trucs pas très très légaux, mais vous voyez, ça serait dommage de limiter le potentiel de cette personne à cause de deux-trois dérisoires considérations comme LES LOIS ou LES IMPÔTS. alors oui, il a délaissé sa famille, a pondu des enfants à la pelle dont il ne s'est jamais occcupé, qu'il n'a parfois même pas reconnus, mais que voulez-vous, ces basses tâches ne sont pas du domaine du génie (car c'est un truc de meuf) Ces motifs en deviennent tellement répétitifs que j'en viens à me demander s'ils ne sont pas, plutôt que des dommages collatéraux qu'on pardonne trop facilement, en fait consubstantiels au génie, qui serait beaucoup moins intéressant, qui ne serait pas génie s'il n'avait pas sa part d'ombre.
Une femme se prépare pour l'arrivé de son nouvel amant black. Dès qu'il arrive, elle prend sa bite dans son caleçon pour voir la grosseur. Elle suce son mari pendant que l'amant lui fait un cunnilingus. Après quelques minutes de baise, elle retire la capote de son amant pour qu'il puisse la baiser.
» De son côté, Amber Heard s'est dite « dévastée »: « Je suis dévastée par le fait que la montagne de preuves n'ait pas été suffisante pour faire face au pouvoir, à l'influence et à l'ascendant bien plus importants de mon ex-mari. […] Je suis encore plus déçue par ce que ce verdict signifie pour les autres femmes. C'est un revers. Elle lui fait une fellation. Cela remet en cause l'idée que la violence envers les femmes doit être prise au sérieux. » Pour rappel, c'est globalement ladite tribune publiée par Amber Heard en 2018 dans le Washington Post, où elle affirmait être « une personnalité publique représentant les violences conjugales », qui aura mis le feu aux poudres entre les deux ex. Depp ayant décidé d'assigner Heard en justice, lui réclamant à l'époque 50 millions de dollars pour avoir détruit à la fois sa carrière et sa réputation. Amber Heard avait formulé une contre-demande, demandant 100 millions de dollars à l'acteur.
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