Je pousserais l'apport glucidique le midi de la veille de course à 200g de pâtes ou riz (si on a l'appétit! ) et non pas le dernier soir car il est important de passer une bonne nuit et donc de ne pas trop se gaver le dernier soir. Le matin de la course, en principe on est plein à rebord de glycogène donc on pourrait même se passer de petit déjeuner. L'idée c'est de se faire plaisir et se pas se charger trop. Que manger avant un trail du mont. Une tranche de pain avec du miel et/ou un peu de muesli et c'est assez. En marathon c'est 3 heures avant (si c'est le matin, utilisez des gatosports directement assimilables pour réduire à une heure ce temps). En trail long (> 50 km) où la vitesse de course permet de digérer en courant, le plus tard c'est le mieux et on peut augmenter les doses! Il n'est d'ailleurs pas rare sur ce type de course que les organisateurs offrent le café / croissant une demi heure avant le départ! Il est important de bien boire avant la course (presqu'un litre). Il faut savoir que l'eau met une heure avant d'être utilisée par le corps donc il vaut mieux arrêter de boire ¾ d'heure à ½ heure avant le départ voire une heure avant si on veut être sur de ne pas être pris d'une envie pressante à peine le départ donné!
2. La récupération fait partie de l'entraînement: J'insiste mais entre les séances, en fin de période intense, après un week-end « Choc », à l'approche de votre objectif, il faut savoir récupérer pour arriver frais et disponible physiquement et mentalement le jour de la course d'ultra. En pratique: Observer un repos complet après une compétition ou une grosse sortie à J+2. Dernière grosse séance de préparation à J-10 après il faut se reposer! 3. Le travail « aérobie » doit être au cœur de l'entraînement: Si la progression se réalise grâce aux multiples sollicitations dans les différentes filières énergétiques (endurance fondamentale, endurance active, seuil, travail de VMA…) le travail à des allures modérées et sur des durées relativement importantes doit rester une priorité. En pratique: La traditionnelle sortie longue bien entendu (plus de 120' d'effort) peut-être placée en moyenne tous les 15j. Que manger avant un triathlon. Endurance fondamentale (footing) à jeun jusqu'à 60' en terminant par 3 à 5 lignes droites rapides (100m).
17 juin 2013 1 17 / 06 / juin / 2013 18:12 L'idée est de se refaire la cerise après toutes ces semaines d'entrainement difficiles et où on a parfois essayé de perdre du poids en même temps. Le corps est fatigué et il faut se refaire une santé! On va donc s'attacher à refaire les niveaux non seulement en énergie mais aussi en sels minéraux tel que le fer et en hormones (dopamine pour avoir la pêche et sérotonine pour la sérénité). Deux phases: la première en début de semaine, plutôt sur du qualitatif et la fin de semaine (J-1 et J-2), plutôt du glucidique. Cela donne de J-6 à J-2, des menus équilibrés en limitant les apports de gras et en restreignant un peu les glucides. Le petit déjeuner idéal du sportif - U Run. Vu qu'on va s'entrainer très peu la dernière semaine, les besoins énergétiques sont diminués donc il ne s'agit pas de prendre trop de glucides à mon avis, le pain (si possible complet pour les sels minéraux) qui accompagne les repas suffit. Je ne vais pas prendre de pâtes ou du riz dans cette première partie de semaine où je ne vais pas faire de sport et qui risquerait de transformer in-fine en gras.
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