Synopsis: Trois amies, Jane, fraichement promue rédactrice, Kat, la responsable des réseaux sociaux et Sutton, assistante, jonglent avec leurs amours et leurs vies alors qu'elles travaillent pour le magazine Scarlet détenu d'une main de fer par rédactrice en chef impitoyable, Jacqueline Carlyle. Durée: 42 min Saison 1 = 10 épisodes Pays: USA Diffusion: FreeForm Le saviez-vous? La série est inspirée de la vie de Joanna Coles, ancienne rédactrice en chef du magazine Cosmopolitan Scarlet est un magazine fictif Sam Page qui joue le rôle de Richard Hunter a été le premier membre du casting annoncé avant même les trois rôles principaux. Pourquoi regarder The Bold Type? Le Diable s'Habille en Prada en version série tv Amitié féminine et rigolades La vie d'un magazine féminin avec le glamour et le côté tyrannique Un avis sur The Bold Type Une fois les trois héroïnes, Jane (Katie Stevens), Kat (Aisha Dee) et Sutton (Meghann Fahy) rentrées au sein de la rédaction de Scarlet, l'impression de voir le film Le Diable s'habille en Prada en série ne vous quitte plus jusqu'à la fin du pilote.
Puis, Kat qui elle hérite d'une cause bien trop démesurée pour elle et en plus, elle n'est pas crédible. La jeune femme veut défendre le droit des femmes à travers la cause d'Adena El-Amin, une artiste lesbienne musulmane engagée. Le sujet est important mais traité à la légère par la série comme tout le reste d'ailleurs. Alors, bien sûr The Bold Type n'est pas une série d'intellectuel mais espérer le revendiquer ce genre de sujet me paraît un peu périlleux…. Enfin, le plus agaçant, c'est la relation irrationnelle qu'entretient Jane avec le magazine Scarlet dire que le magazine est la grande soeur qu'elle n'a jamais eu, semble disproportionné. Rappel, Scarlet est un magazine pas une personne ou l'héroïne d' Autant emporte le vent. Ce côté petite princesse triste de Jane est très vite pénible. Bref, The Bold Type est plus une série quelconque qu'audacieuse. Osez prendre un autre magazine. Pilote Rédhibitoire Voir la classification des pilotes ici
Bonjour, Nous sommes lundi. Oui, nous sommes lundi. Bien que je sois loin dans la campagne, avec une connexion Internet si lente que ça en est une blague et aucun réseau, je publie mon débriefing de la semaine à temps! Je suis la première étonnée. C'est bien la preuve que je me cache souvent derrière des excuses pour expliquer mon manque de rigueur; ou alors, possiblement, que le fait que je profite des vacances me laisse plus de temps pour écrire. Impossible à dire. Continuant sur la lignée de la semaine passée, j'ai eu une semaine riche en série … sauf qu'elle s'est concentrée sur quatre jours seulement vu que je suis partie vendredi pour le Gers où il fait chaud, beaucoup trop chaud, beaucoup beaucoup trop chaud. Je suis avec neuf Belges à la campagne, et moi, la Belge d'adoption originaire du Sud de la France, je suis clairement la moins adaptée au climat. Je fuis le soleil, les tiques, les moustiques mais tous parviennent à me retrouver. En une soirée, je me suis retrouvée avec 50 piqûres sur le bas du corps et je vous assure qu'il ne s'agit pas là d'une exagération.
Toujours dans ces quatre quatorze jours. Bon, là-dedans il y a en fait trois épisodes que j'ai vu des semaines auparavant et que j'ai oublié de compter, donc ça ne fait pas tant que ça, si? Et si je vous dis que durant la semaine, j'ai passé trois soirées (et une journée) avec des copains, vous me croyez? C'est vrai, pourtant. Cependant, mis à part ces moments sociaux, tous les instants de mes journées étaient rythmées par des séries, nettoyage de printemps oblige. Bon, trêve de bavardages, je vous ai écrit un débrief de 5000 mots, il est maintenant temps de le lire! Mais non, revenez! 5000 mots c'est vite passé, vous avez déjà fait plus du dixième du chemin. Lire la suite « Ma semaine devant l'écran #21 | Déni » →
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