Dans la pièce au sol recouvert de sang, l'enfant, pour ne pas être visé par les tirs, a essayé de "faire le mort". Miah Cerrillo, 11 ans, a tenté d'échapper à l'attention de Salvador Ramos de la même façon. Centre Presse : Tuerie d'Uvalde: les premiers témoignages. La fillette s'est couverte du sang d'un camarade, dont le cadavre se trouvait à côté d'elle, a-t-elle expliqué à CNN. Elle venait de voir l'adolescent abattre son institutrice, après lui avoir dit "bonne nuit".
Joe Biden saura donc épouser la douleur des familles, et peut-être l'apaiser un peu. Mais malgré son empathie et ses appels à se dresser face au "lobby des armes à feu", il ne peut pas faire grand-chose dans un pays où le sujet, même après un massacre, suscite des divisions irréconciliables. Il y a aux Etats-Unis plus d'armes en circulation que d'habitants, un fait sans équivalent dans les pays développés. Mourir peut attendre cinema en. Légiférer les armes semi-automatiques Robert Robles, 73 ans, venu dimanche de la grande ville voisine de San Antonio, trouve que c'est "très bien que le président soit venu. " "Il doit passer des lois pour que nous puissions protéger les enfants des AR-15", l'arme semi-automatique désormais synonyme de massacres dans des écoles, a-t-il réclamé. Le démocrate de 79 ans voudrait briser cette sinistre routine de l'Amérique, bouleversée à intervalles réguliers par des fusillades sans que des réformes significatives ne suivent. "Je sens un état d'esprit différent", y compris dans l'opposition républicaine pourtant généralement hostile à toute restriction, a voulu croire Dick Durbin, l'un des sénateurs démocrates les plus influents, interrogé dimanche par CNN.
"Perdre un enfant, c'est comme si l'on vous arrachait une partie de votre âme", avait-il dit mardi. "Rien n'est plus jamais pareil. " "Lobby des armes" A Uvalde, Joe Biden doit rencontrer des familles de victimes, des dirigeants locaux et des responsables religieux. Connu pour son empathie, il saura sans doute trouver les mots face à la souffrance des proches. Joe Biden à Uvalde, ville traumatisée par le massacre dans une école. Le président américain Joe Biden à New Castle, dans le Delaware, le 27 mai 2022 AFP / MANDEL NGAN. Mais le chef de l'Etat peut difficilement promettre des actes à ceux qui réclament un encadrement plus strict des armes à feu. La trop fine majorité parlementaire démocrate ne lui permet pas de faire passer seule une législation significative sur le sujet. Les élus de son camp ont besoin de convaincre quelques républicains pour obtenir la majorité qualifiée nécessaire. La Maison Blanche, réticente à trop impliquer Joe Biden dans la bataille politique, a dit jeudi avoir "besoin de l'aide du Congrès", par la voix de sa porte-parole Karine Jean-Pierre.
A la sortie de l'église où le président démocrate, catholique pratiquant, et sa femme Jill Biden venaient d'assister à une messe, plusieurs voix ont scandé: "Faites quelque chose"! "Nous le ferons", a répondu rapidement le président, avant d'aller à la rencontre de familles des victimes et de secouristes. Il a prévu de passer plusieurs heures en leur compagnie, à l'abri des caméras et des regards. "Plus sûre" "On ne peut pas rendre les drames illégaux, je le sais. Mais on peut rendre l'Amérique plus sûre", a plaidé samedi le président des Etats-Unis. Le démocrate de 79 ans voudrait briser cette sinistre routine de l'Amérique, bouleversée à intervalles réguliers par des fusillades, sans que des réformes significatives sur les armes à feu ne suivent. "Je sens un état d'esprit différent", y compris dans l'opposition républicaine pourtant généralement hostile à toute restriction, a dit à CNN Dick Durbin, l'un des sénateurs démocrates les plus influents. Mourir peut attendre cinéma et de l'audiovisuel. Mais il lui faut convaincre quelques républicains pour obtenir la majorité qualifiée nécessaire au Sénat, et légiférer au moins sur l'accès aux armes semi-automatiques, sachant qu'une réforme plus vaste est impensable dans un pays viscéralement attaché aux armes, et qui en possède plus que toute autre nation développée.
Miah, 11 ans, a tenté d'échapper à l'attention du tireur de la même façon. La fillette s'est couverte du sang d'un camarade, dont le cadavre se trouvait à côté d'elle, a-t-elle expliqué à CNN. Elle venait de voir l'adolescent abattre son institutrice, après lui avoir dit "bonne nuit". Il avait fallu attendre environ une heure, mardi, pour que la police mette fin au massacre. Les 19 agents sur place attendaient l'assaut d'une unité spécialisée. Mourir peut attendre cinema du. Un délai d'intervention qui a provoqué une forte polémique et un mea culpa des autorités texanes. La police a pourtant reçu de nombreux appels de personnes se trouvant dans les deux salles de classe touchées, dont celui d'une enfant implorant: "S'il vous plaît, envoyez la police maintenant".
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