C'est un bruit qui court mais qui semble pourtant prendre une certaine ampleur. Beaucoup de francs-maçons anglais verraient bien le Prince Harry, récemment très médiatiquement marié avec la belle actrice américaine Meghan Markle, devenir le 11ème Grand-Maître de la Grande Loge Unie d'Angleterre (United Grand Lodge of England - UGLE). Alors, fake new, simple supposition sans lendemain de frères anglais trop enthousiastes, ou hypothèse sérieuse? Même si le Duc de Kent, cousin de la Reine, Grand-Maître de la Grande Loge depuis 1968, avec ses 82 printemps, fait figure de jeunot par rapport à la Reine Elisabeth II (92 ans) et au Prince Philip (96 ans), certains verraient bien son remplacement par un membre de la famille royale de la jeune génération. Alors pourquoi pas par son altesse royale le Prince Harry? Un indice qui fait beaucoup parler (et qu'a relevé en France Marie-Françoise Blanchet notamment): Le prince Harry a été fait 2ème Duc de Sussex. 2ème car le titre n'est plus porté depuis 1843, date de la mort du 1er Duc de Sussex.
« Les francs-maçons sont profondément attristés d'apprendre le décès du prince Philip et nous adressons nos sincères condoléances à Sa Majesté la Reine et à la famille royale ». C'est un hommage atypique qui n'est pas passé inaperçu au Royaume-Uni, ce 9 avril. La Grande Loge Unie d'Angleterre (GLUA) s'est longuement épanchée sur le décès du duc d'Edimbourg et a rappelé les états de service de leur « frère », membre actif d'une organisation très décriée mais qui a pignon sur rue à Londres et qui compte parmi ses rangs plusieurs souverains et princes de la Maison royale britannique. Entre la famille royale d'Angleterre et la franc-maçonnerie britannique, c'est une longue histoire d'amour dont l'origine remonte au XVIIème siècle. Placé sous la protection du roi Jacques VI d'Ecosse (plus tard roi d'Angleterre), elle ne tarde pas à proliférer et recruter massivement parmi les protestants. C'est le prince de Galles, Fréderic de Hanovre (1707-1751), qui ouvre le bal aux adhésions des membres de la famille royale au sein de la franc-maçonnerie et qui va rapidement susciter l'engouement d'une aristocratie friande de sociétés secrètes.
Le plus connu d'entre eux est le prince Edward, duc de Kent, qui est grand maître de la Grande Loge Unie d'Angleterre depuis 1967. Le futur roi Edouard VII, encore prince de Galles, a été grand maître de 1874 à 1901. Il dût abandonner son poste à la mort de sa mère et à son ascension sur le trône. Son frère, le prince Arthur duc de Connaught et Strathearn lui succéda jusqu'en 1939, déjà âgé de 89 ans. Après le prince Arthur, c'est son petit-neveu, le prince George, duc de Kent, qui sera grand maitre de 1939 à 1942. George, duc de Kent était le père de l'actuel duc de Kent, grand maitre depuis 1967. En 1942, Henry Lascelles, 6 e comte de Harewood deviendra grand maitre. Henry Lascelles était le fils de la princesse Mary et donc le petit-fils du roi George V, également neveu du précédent grand maitre. Entre 1947 et 1967, les grands maitres ont été le duc de Devonshire et le comte de Scarbrough. Ils n'étaient pas membres de la famille royale. Il existe également une loge qui porte le nom de Duc d'Édimbourg.
yonnel ghernaouti, YG 11 décembre 2019 à 07:01 / Répondre Ce n'est pas la première fois que « Point de vue (magazine) – Images du monde – Le Journal des princes d'aujourd'hui », créée en 1945 et diffusé à 154 292 exemplaires en 2018, spécialisé dans l'actualité du gotha et des familles royales, consacre un article à la Franc-Maçonnerie. Des articles mis en ligne comme « Aux origines de la franc-maçonnerie: les trois rois fondateurs » par François Billaut, et publié le 12 novembre 2019. En fait, il s'agit souvent de reprises d'articles déjà publiés dans « Point de vue HISTOIRE » n°11 de mars 2012 et intitulé « Princes et rois Francs-Maçons ». Nous trouvons des articles, entre autres, sur: – « Salmon, Hiram & Cyrus, le mythe des rois fondateurs » par François Billaud, – « De Jacques Ier à Édouard de Kent », par Gabriel de Penchenade, – « Comte de Clermont », par Philippe Delorme, qui signe aussi l'édito, – « Philippe Égalité », par Raphaël Morata, etc. Et, dans ce numéro, trois articles évoquent des personnalités impériales: – « Les Bonaparte et Cambacérès au service de Napoléon », par Thierry Lentz, – « Bernadotte, une mystérieuse initiation », par Franck Favier, – « Murat contre Napoléon », par Pierre Mollier.
A MAD in France, on m'a demandé d'animer un atelier de tchatche sur la fiabilité de la Bible. Voici comment j'ai commencé mon speech: Michel Onfray, dans son livre, Traité d'Athéologie, parle de la foi comme d'une: « pathologie mentale personnelle ». Richard Dawkins, quant à lui, dans son bestseller mondial, Pour en finir avec Dieu, définit le dieu de l'Ancien Testament, la première partie de la Bible, de la manière suivante. Attachez vos ceintures! « C'est l'un des plus déplaisants personnages de toute la littérature de fiction, jaloux et fier de l'être, c'est une brute misogyne, homophobe, raciste, infanticide, génocidaire, nuisible, mégalomaniaque, sadomasochiste, capricieuse et malveillante. » Si comme ces penseurs l'affirment, le Dieu de la Bible n'est qu'une invention humaine, et que son portrait dans la Bible est celui d'une brute jalouse misogyne, alors comment se fait-il que des centaines de millions de personnes tout au long de l'histoire ont trouvé dans ce même livre le guide le plus fiable pour comprendre la réalité telle qu'elle l'est vraiment?
Moïse, qui a donné la loi au peuple d'Israël (Jean 1. 17), n'a pas été influencé par les erreurs des Égyptiens – ni le prophète Daniel, par les mythes des Chaldéens – ni encore l'apôtre Paul, par la philosophie des Grecs. Leurs écrits ont survécu à l'épreuve du temps comme étant la Parole de Dieu. Beaucoup de détails historiques rapportés dans la Bible, qui avaient été remis en question par les critiques, ont été confirmés par les fouilles de nombreux savants. Parmi ces faits, nous trouvons l'existence du roi Belshatsar de Babylone, ou celle du peuple des Hittites (ou Hétiens). Ainsi, il est toujours prouvé, avec toute certitude, que la Bible est la véritable Parole de Dieu. D'après « The Good Seed » octobre 2012 À propos de l'auteur: JDA
2° La justesse des faits racontés à la base. Concernant la transmission: Pour l'Ancien Testament, la première partie de la Bible, le plus vieux manuscrit écrit en hébreux, qui contient tout l'Ancien Testament, date du 10 ème siècle ap. J. -C. (codex d'Alep). Ce n'est pas très vieux, mais nous avons d'autres manuscrits plus anciens, contenant seulement certains livres. Nous avons aussi des traductions bien plus anciennes. De plus, en 1947, on a découvert les manuscrits de la mer Morte qui remontent à une période située entre le 3 ème siècle av. et le 1 er siècle de notre ère. Ces textes comportent peu de variations par rapport à ceux du 10 ème siècle montrant ainsi que la transmission a été fidèle. Pour le Nouveau Testament, plusieurs faits montrent sa bonne transmission: Les originaux ont été écrits rapidement après les faits (de l'an 45 à l'an 100). Les premières copies ne sont pas très éloignées de la rédaction de l'original (de 30 à 300 ans). Pour les ouvrages de l'époque, c'est exceptionnel!
Les prophètes de l'Ancien Testament cherchent constamment à ramener le peuple de Dieu vers cette Alliance, vers une obéissance vis-à-vis de la Loi de Dieu qui les préservera. Cette Loi leur est donnée comme charte pour leur vie de relation avec Dieu et avec les autres hommes, mais elle doit être crue et obéie dans la foi, dans la confiance envers celui qui l'a donnée. C'est justement cela le cœur de l'Alliance.
Pokemon Gold Rom Ds, 2024